Anne Lauwaert :
1994 - I giorni della vita lenta
1994 - I giorni della vita lenta
CDA, Torino
1995 - La Via del drago
CDA-Vivalda,
Torino
2008 -
2° edizione
2009 - Premio letterario Leggimontagna - primo rango (Premier prix littéraire Leggimontagna)
1995 - Allarme
in Valle Onsernone
Presso l’autore
2012
- Les Oiseaux noirs de Calcutta
Éd.Tatamis,
Paris
2011 - Le Grimpeur maudit
chez l’auteur
BD / fumetto
2012 Éd. Tatamis, Paris
2014 - Des raisins trop verts… ou les déconvenues des migrants
Éd. Mon
Petit Éditeur, Paris
Nombreux
articles d’actualité - Numerosi articoli di stampa / Internet :
« Riposte Laïque »
« Le libre penseur »
« Enquête et Débat »
« Les Observateurs »
Le Grimpeur maudit
Anne M.G. Lauwaert
Tout comme dans son livre précédent « La Via del Drago », écrit en italien par Anne Lauwaert, le titre ne mentionne pas l’identité du personnage central, ce phénomène que fut Claudio Barbier, dont tout grimpeur a entendu parler sans l’avoir connu vraiment. Ce livre, que je considère comme un des meilleurs du genre, dépeint non seulement le véritable Claudio mais aussi toute l’atmosphère de la grimpe dans les années soixante-dix, époque de l’apothéose de l’escalade aventureuse, avant qu’elle ne devienne plus sophistiquée, plus compétitive. Anne a rencontré Claudio à Freyr un an à peine avant sa mort accidentelle dans les rochers d’Yvoir, mais leur relation fut dense et passionnée. Son récit, tout en finesse, nous fait revivre une époque charnière de l’histoire de l’escalade belge, vécue de l’intérieur, avec toute la fraîcheur d’une jeune femme qui trouve enfin, dans nos rochers, pourquoi elle est née.
Mais elle a aussi pu nous restituer l’âme de Claudio Barbier, avec ses contradictions, ses joies exubérantes et ses colères spectaculaires, une âme déchirée par dieu sait quel démon. Là réside sans doute le moteur de ses escalades les plus folles, qui l’ont rendu célèbre dans le monde entier.Je recommande chaudement à tous ceux qui aiment Freyr la lecture de cet ouvrage passionnant, écrit d’une plume alerte et sincère par une des nôtres.
Jean Bourgeois
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